Aux États-Unis, les chefs d’entreprises gagnent 265 fois le salaire moyen d’un américain.
Dans le top du classement, les États Unis. Avec un revenu de 14,2 millions de dollars par an, en moyenne, les PDG américains sont les mieux payés au monde. Ils gagnent 265 fois le salaire moyen d’un travailleur américain. C’est le pays où les écarts de salaires sont les plus importants. Un américain devrait travailler 5 ans pour gagner l’équivalent… d’une semaine de revenus d’un PDG. L’Inde les talonne : Il faut multiplier par 229 le salaire moyen indien pour atteindre le salaire moyen des patrons. En dernière place du podium : le Royaume-Uni. Il faudrait 200 salaires moyens pour égaliser celui d’un patron du pays.
soyons communisme .. partage des salaires et tous à la même enseigne
moi ça ne me choque pas que le patron gagne plus qu'un ouvrier, c'est logique, ils n'ont pas les mêmes charges ! c'est juste où je suis en colère, c'est les patrons qui engraissent ses actionnaires avec le CAC40 :x
Honnêtement, qu'un PDG gagne plus qu'un ouvrier ou salarié ne me dérange pas. Tout le monde n'a pas les mêmes capacités intellectuelles ou le pouvoir de monter son entreprise.
Par contre, je suis choquée par les écarts disproportionnés des salaires, des stocks options, et toutes autres primes que perçoivent les PDG des grandes entreprises par rapport à leurs salariés. Certes, ils ont beaucoup de responsabilités, mais leur société ne serait rien sans les salariés ou ouvriers. C'est scandaleux !
Le membre suivant remercie pour ce message :
lalain
11 ans de Petite Feuille ♥
Merci de votre amitié
Félicitation pour ton grade "Premium"
Un grand merci pour ta fidélité et pour ta gentillesse
Félicitation pour ton grade "V.I.P.+"
J'ai la joie de vous annoncer que votre assiduité a été récompensée
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
Honnêtement, qu'un PDG gagne plus qu'un ouvrier ou salarié ne me dérange pas. Tout le monde n'a pas les mêmes capacités intellectuelles ou le pouvoir de monter son entreprise.
Par contre, je suis choquée par les écarts disproportionnés des salaires, des stocks options, et toutes autres primes que perçoivent les PDG des grandes entreprises par rapport à leurs salariés. Certes, ils ont beaucoup de responsabilités, mais leur société ne serait rien sans les salariés ou ouvriers. C'est scandaleux !
Merci Tiphanie, ton post résume le fond de ma pensée.....
soyons communisme .. partage des salaires et tous à la même enseigne
moi ça ne me choque pas que le patron gagne plus qu'un ouvrier, c'est logique, ils n'ont pas les mêmes charges ! c'est juste où je suis en colère, c'est les patrons qui engraissent ses actionnaires avec le CAC40 :x
surtout les patrons dont leur société n'est pas en bourse
le cac 40 ce ne sont que 40 société ( internationale )
dont seulement 5 sont entièrement en France ; siège social, compta, gestion et bureaux d'études
le même salaire ; mais alors le même boulot ( jamais à la maison et plus de 70h de boulot par semaine )
soyons communisme .. partage des salaires et tous à la même enseigne
moi ça ne me choque pas que le patron gagne plus qu'un ouvrier, c'est logique, ils n'ont pas les mêmes charges ! c'est juste où je suis en colère, c'est les patrons qui engraissent ses actionnaires avec le CAC40 :x
En fait on s'en fout complètement de savoir combien gagne un patron et combien de fois plus cela représente de ses ouvriers.
Ce qui compte réellement, c'est le niveau de vie de l'ouvrier. Si avec un salaire de base on vivait bien, le patron pourrait bien gagner 10 000 fois plus, qu'est-ce qu'on en aurait à faire ? Le problème de notre société moderne, c'est qu'avec un salaire de base on galère et/ou on accumule des dettes sous forme de crédits à la consommation. C'est cela qui fait que les salaires des PDG nous choquent, mais en réalité, c'est le salaire minimum qui est choquant, insuffisant pour subvenir aux besoins actuels de notre société.
Le membre suivant remercie pour ce message :
camélia
11 ans de Petite Feuille ♥
Merci de votre amitié
Félicitation pour ton grade "Premium"
Un grand merci pour ta fidélité et pour ta gentillesse
Félicitation pour ton grade "V.I.P.+"
J'ai la joie de vous annoncer que votre assiduité a été récompensée
Qui est Qui ? Félicitation pour ton jeu !
Une belle trouvaille ton jeu "Qui est Qui ?" Merci de l'animer....
Les Meilleurs anim'joueurs
Un Grand merci d'animer la section jeux
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
Merci pour vos talentueux textes !
Félicitation ! une histoire originale, tendresse, humour, coquine… Bravo !
Vous êtes vraiment les meilleurs !
Une récompense bien méritée pour nos posteurs les plus actifs!
Vous êtes vraiment les meilleurs !
Une récompense bien méritée pour nos posteurs "Mordu d'actualité" !
"Y'love Music 2023
Hit Parade de la Fête de la Musique
La rentrée au travail : le jeu des défis
Merci d'avoir illuminé notre jeu de la rentrée avec ta présence joyeuse et ton humour pétillant
Club des Sensibilités Différentes
Bienvenue dans le Club des Sensibilités Différentes
Merci pour les 13 ans de "Petite Feuille"
De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
L'écart de rémunération patron/employé est régulièrement dénoncé par les politiques et les médias. Et chaque année ou presque, un grand patron fait l'objet d'une polémique tant sa rémunération semble astronomique, d'autant plus si on la compare à ce que touche ses ouvriers, comme cela a été le cas cette année pour, entre autres, les dirigeants de Renault, Carlos Ghosn, et PSA, Carlos Tavares. Pour éviter ce genre de situation, la loi française offre désormais un réel contrôle aux actionnaires grâce au "say on pay" rendu obligatoire et non plus consultatif comme cela était le cas avant. Il n'existe toutefois aucune norme forçant à publier l'écart salarial maximum dans l'entreprise.
L'expression anglaise say on pay est une règle en droit des sociétés par laquelle les actionnaires d'une entreprise ont le droit de voter sur la rémunération de leurs dirigeants.