Après avoir rassemblé autour de lui nombre de barons locaux – dont Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, également président de France urbaine, celui de Reims, Arnaud Robinet, ou d'Angers, Christophe Béchu –, le président de la métropole Nice-Côte d'Azur ambitionne de faire évoluer rapidement la structure vers « un vrai mouvement citoyen », fort de 250 maires, 1 000 élus locaux, mais aussi, promet-il, 15 000 adhérents. Ce vendredi à Saint-Laurent-du-Var, Christian Estrosi annonce même avant l'heure, à l'AFP, une « rentrée politique qui aura mobilisé plus que toutes les autres rentrées politiques, avec 6 000 militants ».