Le Premier ministre afghan, Mohammad Hassan Akhund, l'a réaffirmé, mercredi 14 août, à l'occasion des célébrations fêtant les trois ans du retour au pouvoir des talibans : ces derniers comptent "garder le cap de la loi islamique". En août 2021, alors que les Américains se retiraient d'Afghanistan, après vingt ans de présence militaire, le groupe fondamentaliste islamiste rentrait triomphalement dans Kaboul à la suite d'une offensive éclair. Depuis, la politique appliquée a créé "la pire crise des droits des femmes au monde", dénonce l'ONG Human Rights Watch (HRW). De plus, entre insécurité alimentaire et explosion de la pauvreté, le pays est au bord du gouffre. Franceinfo fait le point sur cette situation dramatique.
Vous savez ça me brise le cœur de voir nos sœurs afghanes traitées comme ça. C'est pas une vie ça, d'être enfermée et brimée ! Faut qu'on se bouge le popotin pour les soutenir, non ? Y'a sûrement des assos qui font du bon boulot là-bas, on pourrait peut-être leur filer un coup de main ?
Théoriquement, les femmes peuvent être scolarisées jusqu'à 12 ans.
En fait, les Talibans se nuisent à eux-mêmes.
Les médecins hommes ne peuvent soigner les femmes, et il n'y plus de médecins femmes formées. Si les femmes ne sont pas soignées, les femmes en payeront le prix, et les hommes par voie de conséquence.
Les femmes ne peuvent plus enseigner aux garçons, donc le pays manque d'enseignants, etc.
Périsse le peuple plutôt que d'accepter le moindre manquement aux principes.
Quand la vérité vous met en colère, c'est parce que vous vivez dans le mensonge