Si la loi prévoit des sanctions, les propos racistes et antisémites fleurissent sur Internet et semblent sans réel contrôle. Le gouvernement se penche sur la question mais n'a pour l'instant pas de solutions. Est-ce aux hébergeurs - Google, Facebook, Twitter…-, de faire le ménage?
normalement les forum tel que facebook doivent s'autocensurer
Ben en réalité, je ne suis pas sûr dans la mesure où le concept de liberté d'expression aux Etats-Unis est plus large que ce qui a court en Europe. Or comme ces sociétés sont soumises aux lois américaines donc bon..... Par contre, tu verras jamais un bout de téton sur ces réseaux . Là les algorithmes ils sont puissants En réalité, on ne tombe que très rarement par hasard sur de l'antisémitisme du racisme etc... sur ces réseaux sociaux; c'est à chaque participant de se prendre en main et d'exercer le pouvoir qui est mis à sa disposition et qui est très puissant en définitive:
L’hébergeur n’a qu’un rôle technique et ne devrait pas être responsable pour le contenu des informations hébergées ! par contre les contenus hébergés, est à la responsabilité de celui qui l’applique, si ces derniers s’avèrent illicites. Toutefois, l’auteur de l’infraction à l’occurrence injure racisme ou autres, n’est pas toujours facile à localiser en raison de son anonymat, et c’est souvent le fournisseur d’hébergement qui se fait poursuivre en premier par le lésé, sur la base d’une responsabilité extracontractuelle. Le problème, la diffusion des messages racistes et homophobes réalisés par les usagers de Twitter ou autre résaux sociaux, via leur propre compte ne suffit pas en soi à engager la responsabilité civile ou pénale de twitter etc. .... Il faut plus !!!
Très juste Lydie, l'hébergeur n'a pas à être responsable du contenu hébergé si ce n'est pas lui qui l'a mis en ligne, il peut toutefois si il le veut supprimer le contenu selon le contrat qu'il a fixé au préalable.
Donc après les hébergeurs fixent leurs règles, si les hébergés ne sont pas contents ils peuvent s'héberger ailleurs, et si ils sont refusés partout ils peuvent monter leur propre infrastructure technique.
Cela me rappelle l'affaire Altern avec 21'893 sites hébergés depuis 1992 jusqu'en 2000, ça a fait couler beaucoup d'encre... Détails sur Wikipédia