L’État co-responsable du suicide d’une collégienne harcelée dans l’Essonne

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Quatre ans après le suicide par pendaison de Marion Fraisse, 13 ans, victime de harcèlement dans son collège de l’Essonne, la justice administrative a reconnu l’État partiellement responsable.

L’État est tenu pour responsable de n’avoir pas détecté ni empêché le harcèlement de la jeune fille par certains de ses camarades de classe, considère le tribunal administratif de Versailles, dans un jugement du 26 janvier.

Il lui est également reproché de n’avoir pas entendu les multiples appels à l’aide lancés par sa mère auprès du personnel enseignant et de la direction du collège Jean-Monnet, à Briis-sous-Forges.

Le tribunal souligne cependant qu’une grande partie des menaces et insultes proférées à l’égard de l’adolescente a transité par moyens électroniques, notamment sur Facebook et donc échappé au contrôle du personnel éducatif, atténuant ainsi la part de responsabilité de l’administration.

L’État est en conséquence condamné à verser 18.000 € de dommages et intérêts à la famille.

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c'est pas les 18000 euros qui vont rendre la vie à la petite ,et puis y a pas que l'état qui est
responsable de cette tragédie ...et la responsabilité parentale elle est ou ?

Entièrement d'accord avec toi Barateur.. Les parents des harceleurs.. ils ont la conscience tranquille ?

entièrement d'accord,c'est ce qui a été démontré dans le téléfilm sur france 3,tiré de cette tragédie,les parents des harceleurs,les profs,tout le monde faisaient la sourde oreille quand la maman de marion a commencé a se plaindre de leur agissements

Diabolique et irrationnel cet harcèlement général sans raison

Dans l'Education Nationale, ils ont toujours eu tendance à faire l'autruche, ne pas dire, ne pas en parler...Résultat des enfants meurent dans un endroit qui devrait au contraire bien les protéger : leur école....