Permettez-moi de vous faire partager ce merveilleux poème de Verlaine intitulé : Mon rêve familier
Paul VERLAINE (1844-1896)
Mon rêve familier
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Car elle me comprend, et mon coeur, transparent Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant.
Est-elle brune, blonde ou rousse ? - Je l'ignore. Son nom ? Je me souviens qu'il est doux et sonore Comme ceux des aimés que la Vie exila.
Son regard est pareil au regard des statues, Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a L'inflexion des voix chères qui se sont tues.
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J’adore la profondeur et l’ampleur du silence ! Quand il me ceint l’ouïe d’une aura de mystère, Le vide devient musique et avale les misères Des heures sans parfums et des fades ambiances. Je voudrais embrasser les déserts aériens, Rejoindre les nuages cotonneux et légers, Voler au ciel bleu ses hauteurs et sa paix Et m’en faire une paire d’ailes de blanc vélin. Epouser du silence la transe et les rythmiques, N’entendre que le chant des vents dans les vallées, Percevoir de la brise les venues et allers Sur les flans séduisants de montagnes mystiques. J’aimerais bien devenir la bergère du silence, En saisir la jouissance dans ses moments magiques D’absence d’assonances phoniques ou symphoniques Cherchant l’harmonie loin des tumultueuses nuisances. Mon troupeau serait fait de brassées de mutisme, De belles touffes tressées de lumière et de calme Que la tranquillité éloigne du vacarme Des bêlements sonores ignares des aphorismes. Ma flûte traversière mieux que celle de Pan Fera vibrer le vent traversier, et ma lyre Composera des chants avec les fins murmures Du zéphyr alizé célébrant les amants.
Khadija Elhamrani
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Si pour un instant Dieu oubliait que je suis une marionnette en chiffon, et qu’il m’offre un morceau de vie, je profiterais de ce temps le plus possible.
Je suppose que je ne dirais pas tout ce que je pense, mais en définitif je penserais tout ce que je dis.
Je donnerais une valeur aux choses, pas pour ce qu’elles valent, mais pour ce qu’elles signifient.
Je dormirais peu, je rêverais plus.
Je crois que chaque minute passée les yeux fermés représente soixante secondes en moins de lumière.
Je marcherais quand les autres s’arrêtent, je me réveillerais quand les autres dorment.
Si Dieu m’offrait un morceau de vie, je m’habillerais simplement, me déshabillerais sous le soleil, en laissant à nu non seulement mon corps, mais aussi mon âme.
Je prouverais aux hommes combien ils se trompent en pensant qu’on ne tombe plus amoureux en vieillissant, et qu’ils ne savent pas qu’on vieillit lorsqu’on cesse de tomber amoureux.
Je donnerais des ailes à un enfant, mais je le laisserais apprendre à voler seul.
J’enseignerais aux vieux que la mort ne vient pas avec l’âge, mais avec l’oubli.
J’ai appris tant de choses de vous, vous les hommes...
J’ai appris que tout le monde veut vivre au sommet de la montagne, sans savoir que le véritable bonheur réside dans la manière de l’escalader.
J’ai appris que quand un nouveau-né serre fort de son petit poing, pour la première fois, la main de son père, il le retient pour toujours.
J’ai appris qu’un homme n’a le droit d’en regarder un autre de haut que pour l’aider à se lever.
J’ai appris tant de choses de vous, malheureusement elles ne me serviront plus à grand-chose, car lorsqu’on me rangera dans ce coffre, je serai malheureusement mort.
Dis toujours ce que tu sens, et fais ce que tu penses.
Si je savais que je te vois dormir aujourd’hui pour la dernière fois, je t’embrasserais très fort et je prierais le Seigneur pour pouvoir être le gardien de ton âme.
Si je savais que ce sont les dernières minutes où je te vois, je te dirais « je t’aime », sans présumer bêtement que tu le sais déjà.
Il y a toujours un lendemain et la vie nous donne une autre occasion de faire bien des choses, mais si jamais je me trompe et que je n’ai plus que ce jour, j’aimerais te dire combien je t’aime et que je ne t’oublierai jamais.
Le lendemain n’est garanti à personne, qu’il soit jeune ou vieux.
Aujourd’hui est peut être le dernier jour où tu vois ceux que tu aimes.
N’attends pas, fais-le aujourd’hui, car si demain ne vient pas, tu regretteras sûrement de n’avoir pas pris le temps d’un sourire, d’une caresse, d’un baiser, car tu étais trop occupé pour pouvoir faire plaisir.
Garde près de toi ceux que tu aimes, dis-leur à l’oreille combien tu as besoin d’eux, aime-les et traite-les bien, prends le temps de leur dire «je regrette», «pardonne-moi», «s’il te plaît», «merci» et tous les mots d’amour que tu connais.
Personne ne se souviendra de toi pour tes pensées secrètes.
Demande au Seigneur la force et la sagesse de les exprimer.
Montre à tes amis et aux êtres chers combien ils sont importants pour toi.
Ce poème a été attribué à tort à Gabriel Garcia Marquez. L'auteur en est un ventriloque mexicain : Johnny Welsch. A l'origine, le texte s'appelait "the Puppet", la Marionnette. Johnny Welsch avait écrit ce poème pour sa marionnette "El Mofles" ou le Joufflu et l'a publié dans son livre intitulé "Ce que la vie m'a appris" en 1996.
Avec le même amour que tu me fus jadis Un jardin de splendeur dont les mouvants taillis Ombraient les longs gazons et les roses dociles, Tu m'es en ces temps noirs un calme et sûr asile.
Tout s'y concentre, et ta ferveur et ta clarté Et tes gestes groupant les fleurs de ta bonté, Mais tout y est serré dans une paix profonde Contre les vents aigus trouant l'hiver du monde.
Mon bonheur s'y réchauffe en tes bras repliés Tes jolis mots naïfs et familiers, Chantent toujours, aussi charmants à mon oreille Qu'aux temps des lilas blancs et des rouges groseilles.
Ta bonne humeur allègre et claire, oh ! je la sens Triompher jour à jour de la douleur des ans, Et tu souris toi-même aux fils d'argent qui glissent Leur onduleux réseau parmi tes cheveux lisses.
Quant ta tête s'incline à mon baiser profond, Que m'importe que des rides marquent ton front Et que tes mains se sillonnent de veines dures Alors que je les tiens entre mes deux mains sûres !
Tu ne te plains jamais et tu crois fermement Que rien de vrai ne meurt quand on s'aime dûment, Et que le feu vivant dont se nourrit notre âme Consume jusqu'au deuil pour en grandir sa flamme.
C'est parce que je suis humain, Que je dois faire ce pari inhumain Qui au Nigeria ne laisse pas le temps, À ma naissance de voir le beau printemps.
La corde qui lie le nombril, À la chair fébrile, Est tranchée par le peuple malien, Sous l'avide envie du royaume azawadien.
Et lorsque l'église est en faille contre la mosquée, On est encore soumis à l'arrachement du piquet, Qu'avait planté le père de l'ancien Zaïre, Mais aujourd'hui son peuple entraîné dans une ire.
Et même la terre des éléphants, S'est divisée sous le regard hideux des enfants, Du vieux qui pensait dissoudre la discorde, Entre le nord et le sud par un anémocorde.
Je croyais que la guerre de trente ans est finie, Mais les preux de la Centrafrique périssent encore, Sous le joug des satyres restés impunis, Et couverts par une cohorte de madrépore.
Que de sulfure porté au fer, Au Darfour en sang, Et qui à présent laisse le Sud sous la mer, Et le Nord emporté par le relent.
On croyait que quelque part dans le désert là-bas, Le Bon maitre voulait s'éterniser au trône, Alors que son peuple se mut à merveille en bas, Mais fut abattu par la vieille couronne.
Que de villages incendiés, Que de hameaux dévastés, Et toute ma petite terre asphyxiée, Tandis que l'espoir effrité.
Mamadou NABOMBO
Jeune sociologue de formation, écrivain, préfacier, enseignant de sociologie au lycée privé et militant panafricain, Mamadou NABOMBO est né le 19 Décembre 1990 à Mopti (Mali)
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Que ce soit dimanche ou lundi Soir ou matin minuit midi Dans l'enfer ou le paradis Les amours aux amours ressemblent C'était hier que je t'ai dit Nous dormirons ensemble
C'était hier et c'est demain Je n'ai plus que toi de chemin J'ai mis mon cœur entre tes mains Avec le tien comme il va l'amble Tout ce qu'il a de temps humain Nous dormirons ensemble
Mon amour ce qui fut sera Le ciel est sur nous comme un drap J'ai refermé sur toi mes bras Et tant je t'aime que j'en tremble Aussi longtemps que tu voudras Nous dormirons ensemble. Louis Aragon.
William Henley avait écrit ce poème sur son lit d’hôpital où il avait dû se faire amputer. Il voulait au travers ces vers faire preuve de résistance face à la douleur. La démarche a été la même pour Nelson Mandela qui en avait fait son texte de chevets alors qu’il était emprisonné à Robben Island. Puissent ces vers nous faire trouver le même courage pour affronter nos épreuves.
Alors voilà, Il dit qu’il est pas venu, Pas envie, pas pu, Il dit qu’il avait du travail, Deux mois sans son traitement, Mais je vois bien qu’il ment,
(À la naissance, pas de gare de triage,)
Je creuse, j’explore, je sonde, Il dira plus tard, « C’est le trésor public, J’avais pas assez d’argent, J’attendais un dégel de mes comptes, J’attendais une mutuelle »
(À la naissance, pas de gare de triage,)
Je lui dis de venir quand même, Qu’on peut soigner gratis, Que tous les médecins le font, De temps en temps, Que la vie est dure, On le comprend, Mais il sursaute, « Je veux pas la charité, Moi je veux payer » Ses doigts salis d’un travail, Que nos bonnes âmes, En leurs gouvernements, Ne voudraient pas, S’agitent, retombent sous la table,
(À la naissance, pas de gare de triage,)
Son regard pur se ferme, fuit, C’est la nuit sur son visage, Tout est pâle, « Je veux pas parler de ça » L’argent, comment on en manque, Comment on en trouve, Ça le regarde, L'argent, tout le monde le sait, L’argent c’est sale, Comme les doigts, Les doigts salis, D’un travail, Que nos bonnes âmes ne voudraient pas...
(À la naissance, pas de gare de triage, Et toi le petit médecin, Jour après jour, Visage après visage, La rage, la rage, la rage.)
Dr Baptiste Beaulieu [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Tu savais le don des notes toutes différentes Maintenant nous entendrons le chant d'un Ange Dans les horizons pour toi devenus éternels Par tes souvenirs nous te resterons fidèles
Nous t'avons aimé dans le pays de la lumière Nous t'adulerons dans le ciel des mystères Tu as quitté le monde de toutes tes réalités Pour vivre encore plus fort dans le ciel adulé
Nous aurons toujours une pensée un regard souvenir Chargé de ta magie de toutes ces couleurs à bénir Tu savais à chaque retour toujours nous éblouir Nous t'écouterons et te reverrons sans défaillir
Ton départ nous à tous surpris trop précipité Nous avions fini par la force de tant t'apprécier En t'écoutant si souvent savoir juste oublié Que tu étais un être humain tant glorifié
Mais juste avant Avant ton grand voyage Tu as frappé à bien des portes hommages Pour porter tes doux mots sans compter Offrir tes chants d'au revoir car Toi tu savais
J'essuie mes larmes je ne pleure plus Juste entends mes mots devenus Des douceurs de t'avoir aimé Jamais je ne t'oublierai ......
< Betty >
ISBN-2-9562778
Tous droits @ réservés
j'arrive pas à lui dire au revoir à Mon Nours. Je n'ai pas envie de lui dire au revoir.
La terre est verte et fraîche sous le soleil doré.
Nous avons arpenté la terre, toi et moi,
Sans nous douter du futur qui nous attendait
Penseras-tu souvent à moi
Quand les fleurs chaque année fleuriront ?
Quand la terre à nouveau revivra ?
On dit que la mort, c’est la fin,
Mais mon amour pour toi ne peut jamais mourir.
Et comme le soleil a réchauffé nos cœurs
Que cet amour un soir revienne te toucher,
Quand je serai parti
Et que tu seras seule
Et avant que l’aurore
Eparpille tes rêves.
L’été
Je n’avais jamais su
Qu’un oiseau
Pouvait chanter si clair et si doux
Avant qu’on me dise qu’il faudrait te quitter
Pour un temps.
Je n’avais jamais vu le bleu du ciel si pur
Avant d’apprendre que jamais
Je ne vieillirai avec toi.
Mais j’aime mieux avoir été aimé de toi
Que d’avoir vécu un million d’étés
Sans avoir jamais connu ton amour.
Ensemble, toi et moi,
Souvenons-nous des jours, souvenons-nous des nuits
Durant l’éternité
L’automne
Et la terre se met à mourir.
Et les feuilles sur les arbres deviennent brun doré.
Pense à moi en automne, car j’y marche avec toi
Comme autrefois le soir, sur les trottoirs des villes
Même si je ne peux plus tenir ta main.
L’hiver
Peut-être un jour trouverons-nous
Une autre cheminée, une autre maison
Et son feu pétillant, sa fumée odorante
Et tout à coup, nous retournant, nous serons là, ensemble,
Et je t’entendrai rire et toucherai ta face
Et te tiendrai tout contre moi encore…
Si d’ici là la solitude vient te trouver
Quelque soir d’hiver et de neige,
Rappelle-toi : quoique la mort me soit venue,
L’amour ne s’en ira jamais !
Elisabeth Kübler-Ross –
La mort, dernière étape de la croissance
Ce texte me touche particulièrement comme les deux précédents. N'oubliez pas de profitez de ceux que vous aimez. La vie s'arrête le temps d'une expiration puis c'est le vide qui reste. Même s'ils sont là ceux qu'on aime, dans nos coeurs, dans nos pensées, dans nos quotidiens.