18 mai 2002. Laurette vient de quitter ce monde dans les bras de sa grande sœur. La famille est ravagée, les amis arrivent, tous s’apitoient sur la douleur des parents, sur son petit frère Alexis, si jeune pour un tel drame...
c'est poignant,comme quoi la maladie touche aussi la famille des artistes!!
Ben, rendez-vous plus tôt Squale: en fait, j'ai mis le livre sur "pause" et sans doute sur "stop". Cela se veut être un bouquin de "développement personnel" mais sous forme de roman. J'en ai lu des tonnes sur l'estime de soi etc etc. Mais des vrais, des purs et durs et là, non, vraiment non. Ca peut sans doute être une découverte pour certains et tant mieux.
QUI EST VERNON SUBUTEX ? Une légende urbaine. Un ange déchu. Un disparu qui ne cesse de ressurgir. Le détenteur d’un secret. Le dernier témoin d’un monde disparu. L’ultime visage de notre comédie inhumaine. Notre fantôme à tous.
J'ai besoin de digérer un peu avant de m'atteler au prochain de la même auteur
Gaïa, j'ai lu "Juste une ombre" : je confirme qu'il faut digérer...
Je l'ai lu aussi et pareil.. j'étais devenu parano après. Purgatoire des innocents est pire je dirais.. cette auteure à des idées horrible, mais c'est bien écrit. J'aime bien (même si ça parait étrange après ce que je viens de dire) En fait ces deux livres m'ont laissé le même sentiment que le film Irreversible, à la fois horrifiée et subjuguée..
Un rythme effréné qui vous laissera le souffle court !
Il laisse derrière lui des cadavres de jeunes femmes atrocement torturées et de mystérieux messages. Ce cruel et terrifiant tueur en série est pourtant traqué par le meilleur flic du 36, le commissaire Florent Bargamont, et une brillante criminologue, Emmanuelle de Quezac.
On sent que c'est un premier livre, beaucoup de maladresse dans l'écriture, les personnages assez caricaturaux, mais ça se laisse lire. J'ai son deuxième dans ma liste, je le lirais plus tard.
Pour le moment je retente une dernière fois de me plonger dans "Sa chose" de Gina Dimitri.
J'ai besoin de digérer un peu avant de m'atteler au prochain de la même auteur
Gaïa, j'ai lu "Juste une ombre" : je confirme qu'il faut digérer...
Je l'ai lu aussi et pareil.. j'étais devenu parano après. Purgatoire des innocents est pire je dirais.. cette auteure à des idées horrible, mais c'est bien écrit. J'aime bien (même si ça parait étrange après ce que je viens de dire) En fait ces deux livres m'ont laissé le même sentiment que le film Irreversible, à la fois horrifiée et subjuguée..
Dans le même style, Sandrine Collette n'est pas mal non plus !
Gaïa, j'ai lu "Juste une ombre" : je confirme qu'il faut digérer...
Je l'ai lu aussi et pareil.. j'étais devenu parano après. Purgatoire des innocents est pire je dirais.. cette auteure à des idées horrible, mais c'est bien écrit. J'aime bien (même si ça parait étrange après ce que je viens de dire) En fait ces deux livres m'ont laissé le même sentiment que le film Irreversible, à la fois horrifiée et subjuguée..
Dans le même style, Sandrine Collette n'est pas mal non plus !
Je note pour de futur achat merci
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Pifette
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
Je suis en train de lire " Merci pour ce moment " le fameux bouquin de Valérie Trierweiller. Je ne l'aurais certainement pas acheté à sa sortie car je n'approuve pas ce déballage de vie privée par simple vengeance, mais mon père l'avait alors je lui ai emprunté par curiosité et pour me faire ma propre opinion...
C'est aussi ce que je me suis dis et même en le lisant j'ai un peu honte pour l'auteure, mais c'huis presque à la fin maintenant alors je vais jusqu'au bout :moq:
Je n'ai pas encore terminé le livre (j'en suis au passage des sans dents), mais oui, je pense aussi que c'est mesquin comme démarche. Même si elle en avait gros sur la patate et que c'était pour elle une façon de vider son sac et de démentir les rumeurs la concernant, je trouve que ce déballage est ridicule !
je voudrai juste ajouter que le déballage de la vie rivée pour un couple ne peut se concevoir que dans le cas où il y a des interets à protéger ou a reclamer et même dans ce cas cela doit se passer etnre les quatre murs d'une salle d'audience d'un tribunal.
en definitve le livre ecrit c'est retourner comme l'auteur compte tenu que la majorité des français et non français l'on desavouée. Le seul succés réalisé par l'auteur est de nature commercial puisque le livre s'est relativement bien vendu...je crois ...et même sos cet angle il n'y a pas matiére à fierté .
"L'âme est notre demeure, Nos yeux sont ses fenêtres et nos lèvres ses messagers !"
Khalil Gibran
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Pifette
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J'ai terminé le livre. Si tout ce que Valérie Trierweiller a écris est vrai, elle a bien dû souffrir en effet, mais même si ce bouquin a été une sorte de psychanalyse pour elle, je continue de penser que ça n'a pas été correct de tout déballer comme ça, pour une « ancienne première dame »...
Que savons-nous vraiment de nos enfants ? Jenny est médecin, mariée à un neurochirurgien célèbre. Ensemble, ils ont élevé trois superbes enfants. Un soir, la plus jeune, Naomi, 15 ans, ne rentre pas à la maison. Les recherches lancées à travers tout le pays restent vaines. L'adolescente a disparu. La famille est brisée.
Plus d'un an a passé et les pires scénarios envisagés – enlèvement, assassinat – semblent de moins en moins plausibles. L'enquête s'essouffle... Cependant, Jenny, désespérée et obsessionnelle, n'a pas renoncé. Elle continue à chercher. Elle sent qu'elle ne retrouvera pas sa fille si elle ne sait pas tout de sa vie. Mais faut-il vraiment vouloir tout savoir de ceux qui nous sont le plus proche ? Car les vérités qu'elle va découvrir sont loin d'être celles auxquelles elle s'attendait.
" La disparition d'un enfant est le cauchemar de toute mère. Mais dans ce livre, ce qui passe en premier lieu pour un enlèvement se révèle être quelque chose de beaucoup plus complexe et déroutant. Jane Shemilt a construit avec brio un thriller si intense qu'on ne peut le lâcher. " Tess Gerritsen
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nanie
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Je suis en train de lire " Merci pour ce moment " le fameux bouquin de Valérie Trierweiller. Je ne l'aurais certainement pas acheté à sa sortie car je n'approuve pas ce déballage de vie privée par simple vengeance, mais mon père l'avait alors je lui ai emprunté par curiosité et pour me faire ma propre opinion...
- Pifette, moi ce n'est pas mon style d'acheter leur(s) bouqin(s). Je ne tiens pas à participer pour remplir leurs comptes en banque, ils en ont bien assez comme ça !
- cry baby : l'ouvrage "ma fille" me parait bien intéressant.
Son père lui a fait 6 enfants. Tout le monde savait… Personne n’a rien dit.
Ça s'est passé en Seine-et-Marne, dans un charmant village à une demi-heure de Paris, dans l'indifférence totale des voisins, des gendarmes, des services sociaux, de la justice et des médecins... " Pourtant, tout le monde savait. "
Je n'ai pas lu et ne lirai pas le livre de Trieweller! on en a tellement entendu parler à la télé, radio, journaux que j'ai déjà l'impression de l'avoir lu , et puis cette femme ne m'intéresse pas! Qu'elle règle ses problèmes intimes seule avec son ex....
Je viens de finir: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Il se prénommait Serge dans L’Ecrivain national, paru en 2014 ; il est aujourd’hui Ludovic, héros de Repose-toi sur moi. Tel un jumeau singulier, qu’on retrouve dans chaque livre de Serge Joncour. Quand il ne sourit pas, le garçon en impose, avec ses 102 kilos pour 1,95 m. Recouvreur de dettes, l’ancien agriculteur se rend dans les banlieues parisiennes, les pavillons en meulière où les vieux se laissent déborder par la consommation frénétique. Ce sont des imprévoyants pour la plupart, des malveillants aussi, parfois des énervés. Ludovic partage une cour d’immeuble à Paris avec des gens qui ne lui ressemblent pas. Des bobos vivant côté rue, version chic et chère, avec ravalement tous les cinq ans et métiers ronflants. Aucune raison de se croiser en dehors du bonjour-bonsoir de rigueur, jusqu’au jour où apparaît Aurore, une princesse qui travaille dans la mode. Elle craint, comme une fillette, les corbeaux domiciliés en bas de chez elle. Ludovic sait comment faire pour apaiser les cauchemars d’Aurore. Et tant pis si ces deux-là, la mondaine et le paysan, la styliste et le rustre musclé, n’ont rien à faire ensemble, le pouvoir romanesque de Serge Joncour vient nous prouver le contraire.
J'ai beaucoup aimé. J'avais déjà lu "l'écrivain national" qui m'avait beaucoup plu et je n'ai pas été déçue par ce dernier roman! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
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Il se prénommait Serge dans L’Ecrivain national, paru en 2014 ; il est aujourd’hui Ludovic, héros de Repose-toi sur moi. Tel un jumeau singulier, qu’on retrouve dans chaque livre de Serge Joncour. Quand il ne sourit pas, le garçon en impose, avec ses 102 kilos pour 1,95 m. Recouvreur de dettes, l’ancien agriculteur se rend dans les banlieues parisiennes, les pavillons en meulière où les vieux se laissent déborder par la consommation frénétique. Ce sont des imprévoyants pour la plupart, des malveillants aussi, parfois des énervés. Ludovic partage une cour d’immeuble à Paris avec des gens qui ne lui ressemblent pas. Des bobos vivant côté rue, version chic et chère, avec ravalement tous les cinq ans et métiers ronflants. Aucune raison de se croiser en dehors du bonjour-bonsoir de rigueur, jusqu’au jour où apparaît Aurore, une princesse qui travaille dans la mode. Elle craint, comme une fillette, les corbeaux domiciliés en bas de chez elle. Ludovic sait comment faire pour apaiser les cauchemars d’Aurore. Et tant pis si ces deux-là, la mondaine et le paysan, la styliste et le rustre musclé, n’ont rien à faire ensemble, le pouvoir romanesque de Serge Joncour vient nous prouver le contraire.
J'ai beaucoup aimé. J'avais déjà lu "l'écrivain national" qui m'avait beaucoup plu et je n'ai pas été déçue par ce dernier roman! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Description: F oin d’envolées théoriques. C’est bien plutôt dans son action fulgurante – par la pratique, si on ose dire – que le pédophile est étudié dans ce roman. C’est d’ailleurs fait avec une mæstria hautement perturbante. Notre sociopathe profond se déploie pour nous, sans malices ni artifices. On domine et comprend intimement le lot gesticulant de ses petites maniaqueries proprettes. On domine et comprend intimement sa sourde misanthropie. On domine et comprend intimement son adultophobie implacable. On comprend, on finit presque par partager sa frustration insondable et sa colère cuisante, pourtours inévitables de son programme radicalement négateur, amoral et nihiliste. C’est une des vertus de la fiction que de pouvoir entériner le monde des monstres.
L’amour suave et délétère de cette narco-crapule semi-psychotique de Buczko pour les petites filles nous est instillé, drogue d’entre les drogues, presque avec du sublime dans la voix. La destruction de la victime prend place en nous lumineusement, en rythme, par petits bonds nerveux.
Le propos de cet ouvrage n’est absolument pas moraliste. Sa cruauté est absolue, hautement dérangeante, répugnante, révoltante, comme gratuite. Et pourtant (car il y aura un et pourtant...) notre pédo-toxico se retrouve avec une terrible clef anglaise jetée par le sort, dans le moteur bourdonnant de sa mécanique criminelle tellement rodée.
C’est une jeune femme qui écrit. Loana Hoarau en est à son deuxième roman. Tributaire des mêmes hantises que le premier, celui-ci est beaucoup plus assumé, plus solide, plus achevé. Un scotome s’imprime. Une œuvre s’annonce.
J'ai lu les 3/4 du livre, je l'ai commencé hier en afin d'après midi, j'ai fini par le lâcher à 23h en me disant c'est bon j'en ai assez lu pour aujourd'hui. J'en ai rêvé toute la nuit. J'attend de l'avoir fini pour en dire plus. Mais il n'est franchement pas à mettre dans les mains des gens hyper sensible ou qui sont directement concerné par la pédophilie. Et pourtant il se lit trés bien car trés bien écrit.
Edit: Je viens de le terminer à l'instant. Je ne sais pas quoi dire.. je suis à deux doigt de pleurer.. je ne sais pas si j'ai aimé ou non, ou plutôt je ne sais pas si on peut avouer avoir aimé ce livre. On fait corps avec les pensées de ce détraqué, on se sent coupable.. Je ne sais pas.. j'ai besoin de lire autre chose pour me purger de celui là..
Description: F oin d’envolées théoriques. C’est bien plutôt dans son action fulgurante – par la pratique, si on ose dire – que le pédophile est étudié dans ce roman. C’est d’ailleurs fait avec une mæstria hautement perturbante. Notre sociopathe profond se déploie pour nous, sans malices ni artifices. On domine et comprend intimement le lot gesticulant de ses petites maniaqueries proprettes. On domine et comprend intimement sa sourde misanthropie. On domine et comprend intimement son adultophobie implacable. On comprend, on finit presque par partager sa frustration insondable et sa colère cuisante, pourtours inévitables de son programme radicalement négateur, amoral et nihiliste. C’est une des vertus de la fiction que de pouvoir entériner le monde des monstres.
L’amour suave et délétère de cette narco-crapule semi-psychotique de Buczko pour les petites filles nous est instillé, drogue d’entre les drogues, presque avec du sublime dans la voix. La destruction de la victime prend place en nous lumineusement, en rythme, par petits bonds nerveux.
Le propos de cet ouvrage n’est absolument pas moraliste. Sa cruauté est absolue, hautement dérangeante, répugnante, révoltante, comme gratuite. Et pourtant (car il y aura un et pourtant...) notre pédo-toxico se retrouve avec une terrible clef anglaise jetée par le sort, dans le moteur bourdonnant de sa mécanique criminelle tellement rodée.
C’est une jeune femme qui écrit. Loana Hoarau en est à son deuxième roman. Tributaire des mêmes hantises que le premier, celui-ci est beaucoup plus assumé, plus solide, plus achevé. Un scotome s’imprime. Une œuvre s’annonce.
J'ai lu les 3/4 du livre, je l'ai commencé hier en afin d'après midi, j'ai fini par le lâcher à 23h en me disant c'est bon j'en ai assez lu pour aujourd'hui. J'en ai rêvé toute la nuit. J'attend de l'avoir fini pour en dire plus. Mais il n'est franchement pas à mettre dans les mains des gens hyper sensible ou qui sont directement concerné par la pédophilie. Et pourtant il se lit trés bien car trés bien écrit.
Edit: Je viens de le terminer à l'instant. Je ne sais pas quoi dire.. je suis à deux doigt de pleurer.. je ne sais pas si j'ai aimé ou non, ou plutôt je ne sais pas si on peut avouer avoir aimé ce livre. On fait corps avec les pensées de ce détraqué, on se sent coupable.. Je ne sais pas.. j'ai besoin de lire autre chose pour me purger de celui là..
Rien que la couverture me fait peur...
Dis-moi, il a beaucoup d'effets secondaires ce livre...
Voilà un joli roman, plein de soleil, de joie de vivre... Bien sûr, il raconte certains événements sombres, mais les personnages (surtout nos deux héroïnes) sont solaires, pleins d'entrain et d'espoir.
En ce moment, je suis en plein dans mes livres de Fac, même s’il y en a des plus chiant que d’autres. Petit résumé de mes dernières lectures :
- Lazarillo de Tormès - Anonyme : Plutôt sympa si on oublie la fin moisie et bâclée. - Gil Blas de Santillane - Le Sage : Chiant, barbant, long et encore chiant. Pire livre que j’ai lu ce semestre je crois. - Moll Flanders - Daniel Defoe : Plutôt sympathique mais très, très répétitif. En revanche, il y a plusieurs situations très drôles. - Les Orientales - Victor Hugo : C’est des poèmes, j’aime pas la poésie. Mais bon, il y a du sang et des morts donc ça compense plutôt bien l’envie de retourner dans le passé pour zigouiller l’auteur. - Jacques le Fataliste et son Maître - Diderot : Un peu long et difficile à comprendre mais message vraiment cool ! En revanche, grave déçue que les deux protagonistes n’ont pas fini ensemble, le ship était grave présent ._.
Là je viens d’attaquer Ferragus de Balzac et il me reste ensuite Les Liaisons dangereuses de Laclos, Le Rouge et le Noir de Stendhal et Le Père Goriot de Balzac à lire. Et après je pourrais enfin retourner à mes bouquins de fantasy qui me manquent terriblement x)
« Lorsque vous avez éliminé l'impossible, ce qui reste, si improbable soit-il, est nécessairement la vérité. » - Arthur Conan Doyle.
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Lydie
L'as des Admin !
“Pour les gens qui savent encore lire, les forums de discussion ressemblent à un jeu de Tétris.”
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
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Merci pour vos talentueux textes !
Félicitation ! une histoire originale, tendresse, humour, coquine… Bravo !
Vous êtes vraiment les meilleurs !
Une récompense bien méritée pour nos posteurs "Mordu d'actualité" !
"Y'love Music 2023
Hit Parade de la Fête de la Musique
La rentrée au travail : le jeu des défis
Merci d'avoir illuminé notre jeu de la rentrée avec ta présence joyeuse et ton humour pétillant
Club des Sensibilités Différentes
Bienvenue dans le Club des Sensibilités Différentes
Merci pour les 13 ans de "Petite Feuille"
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Une Histoire d'Amour Émojionnante
Une Histoire d'Amour Émojionnante !
Un Jeu d'Écriture pour la Fête des Grand-Mères
Grand-mère, un cœur qui ne vieillit jamais!
Merci pour votre participation "Le printemps des citations"
Félicitation au Concours : Le printemps des citations "du joli mois de mai"
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ah oui !! pas mal
moi je suis fan de BD et donc là je complète mes BD "les impondérables" de Binet et aussi tout les "Profs" les "psy" "infirmière" et bien sur j'ai lu le dernier Asterix fan de Tardif, les génies des Alpages ... enfin j'en ai tellement .....