Ton visage est une symphonie Qui chante doucement en moi. Ton visage est une mélodie Que je répète mille fois.
Ton visage quand tu n’es pas là Me poursuit partout où je vais Ton visage quand je suis venu C’est comme s’il ne m’avait pas vu.
Tu me fais mal sans le savoir. Tu me détruis sans le vouloir Mais je ne peux tourner la page Et ne connais que ton image.
Ton visage s’est illuminé Quand tu parlais à mon copain. Et ça m’a brisé de chagrin. C’est comme si la vie s’arrêtait.
Ton visage se moque de ma tête Quand je fais rire l’assemblée. Alors c’est pour moi une fête Puisqu’au moins tu m’as regardé. Tu me fais mal sans le savoir. Tu me détruis sans le vouloir Mais je ne peux tourner la page Et ne connais que ton image. Combien je voudrais le toucher. Il est parfois si près du mien. Du bout des doigts du bout des mains Comme on fait d’une chose sacrée.
Ton visage me tord les boyaux Car pour moi tu n’as pas un mot Et ça me laisse un goût amer. Mon paradis est un enfer. Tu me fais mal sans le savoir. Tu me détruis sans le vouloir Mais je ne peux tourner la page Et ne connais que ton image.
Ton visage est une symphonie Qui chante doucement en moi. Ton visage est une mélodie Que je répète mille fois…
Esther Granek, Portraits et chansons sans retouches, 1976
"S’il vous arrive, la nuit, d’être réveillé par un bruit (le téléphone qui sonne, un objet qui tombe, une fenêtre mal fermée qui tape, quelqu’un qui frappe à votre porte), vous ne vous précipitez pas comme ça, dans le noir, pour faire face à la situation. Instinctivement, la première chose que vous faites, c’est allumer la lumière pour y voir. Eh bien, ce comportement prudent, vous devez aussi l’avoir dans n’importe quelle circonstance de la vie. Oui, dans n’importe quelle circonstance vous devez commencer par allumer la lumière. Et allumer la lumière signifie ne pas se précipiter pour agir, mais entrer en soi-même et demander l’aide du Ciel afin de trouver les meilleures solutions. Si vous n’avez pas cette lumière, vous irez à gauche, à droite, vous frapperez à toutes sortes de portes, vous essaierez toutes sortes de moyens, mais en vain. N’oubliez jamais que l’essentiel, c’est de savoir allumer la lumière en vous ; grâce à elle vous éviterez beaucoup de dégâts et de pertes de temps."
Omraam Mikhaël Aïvanhov
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Je vais encore tourner à la dérision...pardon Pestoune....mais il est nécessaire et utile d'allumer la lumière en se levant si vous ne voulez pas vous casser la bobine.... J'ai essayé et j'ai gagné un tour sur la moquette.....
L’amitié, c’est écouter sans Juger l’autre, ni en bien ni en mal, Et c’est l’aider avec douceur à remettre De l’ordre dans ses pensées.
Quand tu ne te sens pas bien dans ta peau, L’amitié est là pour te rappeler toutes les qualités Que tu possèdes Et que tu sembles avoir oubliées.
Quand tu partages une amitié, Décider devient plus facile et les problèmes Semblent moins graves.
L’amitié te fait le cadeau des plus précieux : Celui du temps ; le temps de partager, De rêver à de nouvelles idées Et de réfléchir aux anciennes. Peu importe le temps que nous passons ensemble, Tu découvriras toujours de nouvelles dimensions Au travers du miroir et des liens de l’amitié.
L’amitié c’est aimer l’autre pour ce qu’il est, Non pour ce qu’il fait. Et en se sentant aimé, On est capable de grandes choses, de s’accrocher Et de réussir.
Entre amis intimes, on apprend A donner. On s’épanouit, on devient Moins égoïste, on ressent plus profondément et on aide Avec plus de cœur. De voir le bonheur Que l’on apporte à l’autre, on est pris D’un immense bien-être, D’une capacité d’amour infinie.
Où que tu ailles, quoi que tu fasses L’ami qui a su pénétrer. Ton âme sera toujours en toi, Il te prendra par la main, tu lui prendras la sienne, Et il marchera toujours à côté de toi.
Allumons tous la lumière , au propre comme au figuré, avant de nous précipiter, comme le dit Pestoune! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Une bonne leçon...
Marquise si mon visage A quelques traits un peu vieux Souvenez-vous qu'à mon âge Vous ne vaudrez guère mieux Le temps aux plus belles choses Se plaît à faire un affront Et saura faner vos roses Comme il a ridé mon front Le même cours des planètes Règle nos jours et nos nuits On m'a vu ce que vous êtes Vous serez ce que je suis Peut-être que je suis vieille Répond Marquise cependant J'ai vingt-six ans mon vieux Corneille Et je t'emmerde en attendant Georges Brassens
Si vous la rencontrez bizarrement parée Traînant dans le ruisseau un talon déchaussé Et la tête et l'oeil bas comme un pigeon blessé Monsieur, ne crachez pas de juron ni d'ordure Au visage fardé de cette pauvre impure Que déesse famine a par un soir d'hiver Contraint à relever ses jupons en plein air Cette bohème-là, c'est mon bien, ma richesse Ma perle, mon bijou, ma reine, ma duchesse... (Charles Baudelaire)
La femme qui est dans mon lit N'a plus vingt ans depuis longtemps Les yeux cernés Par les années Par les amours Au jour le jour La bouche usée Par les baisers Trop souvent, mais... Trop mal donnés Le teint blafard Malgré le fard Plus pâle qu'une Tâche de lune.
La femme qui est dans mon lit N'a plus vingt ans depuis longtemps Les seins si lourds De trop d'amour Ne portent pas Le nom d'appâts Le corps lassé Trop caressé Trop souvent, mais... Trop mal aimé Le dos voûté Semble porter Des souvenirs Qu'elle a dû fuir.
La femme qui est dans mon lit N'a plus vingt ans depuis longtemps Ne riez pas N'y touchez pas Gardez vos larmes Et vos sarcasmes Lorsque la nuit Nous réunit Son corps, ses mains S'offrent aux miens Et c'est son coeur Couvert de pleurs Et de blessures... Qui me rassure!
Brassens l'anar, l'amoureux des femmes, l'anti conformiste et le poète. Comment ne pas l'aimez.
Quant à Reggiani, il fait parti de interprète que je préfère et sa dernière chanson me fait frissonner
Combien de temps... Combien de temps encore Des années, des jours, des heures, combien ? Quand j'y pense, mon coeur bat si fort... Mon pays c'est la vie. Combien de temps... Combien ?
Je l'aime tant, le temps qui reste... Je veux rire, courir, pleurer, parler, Et voir, et croire Et boire, danser, Crier, manger, nager, bondir, désobéir J'ai pas fini, j'ai pas fini Voler, chanter, parti, repartir Souffrir, aimer Je l'aime tant le temps qui reste
Je ne sais plus où je suis né, ni quand Je sais qu'il n'y a pas longtemps... Et que mon pays c'est la vie Je sais aussi que mon père disait : Le temps c'est comme ton pain... Gardes-en pour demain...
J'ai encore du pain Encore du temps, mais combien ? Je veux jouer encore... Je veux rire des montagnes de rires, Je veux pleurer des torrents de larmes, Je veux boire des bateaux entiers de vin De Bordeaux et d'Italie Et danser, crier, voler, nager dans tous les océans J'ai pas fini, j'ai pas fini Je veux chanter Je veux parler jusqu'à la fin de ma voix... Je l'aime tant le temps qui reste...
Combien de temps... Combien de temps encore ? Des années, des jours, des heures, combien ? Je veux des histoires, des voyages... J'ai tant de gens à voir, tant d'images.. Des enfants, des femmes, des grands hommes, Des petits hommes, des marrants, des tristes, Des très intelligents et des cons, C'est drôle, les cons ça repose, C'est comme le feuillage au milieu des roses...
Combien de temps... Combien de temps encore ? Des années, des jours, des heures, combien ? Je m'en fous mon amour... Quand l'orchestre s'arrêtera, je danserai encore... Quand les avions ne voleront plus, je volerai tout seul... Quand le temps s'arrêtera.. Je t'aimerai encore Je ne sais pas où, je ne sais pas comment... Mais je t'aimerai encore... D'accord ?
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Dans nos relations avec la société, une des vertus les plus utiles est l'indulgence. Se montrer sévère, c'est oublier de combien de qualités on est dépourvu, et de combien de fautes on ne fut préservé que par le hasard ; c'est oublier la faiblesse des hommes et l'empire qu'exercent sur eux les objets dont ils sont entourés. Pour rendre à nos semblables une exacte justice, il faudrait connaître tous les secours et tous les obstacles qu'ils ont rencontrés : en jugeant ainsi, que d'actions célèbres deviendraient moins étonnantes, et que de fautes on se reprocherait d'avoir jugées avec trop de rigueur !
C'est de l'indulgence qu'on apprend l'heureux secret d'être bien avec soi-même, et bien avec les hommes. Quelques-uns portent dans le monde une hostile franchise : on les redoute, et les contrariétés qu'ils éprouvent accroissent chaque jour leur brusquerie fatigante et leur rudesse importune. D'autres, ne rougissant d'aucune complaisance, souples et faux, sourient à ce qui leur déplaît, louent ce qu'ils trouvent ridicule, applaudissent ce qu'ils savent être lâche. Soyez indulgent, vous ne sacrifierez jamais l'estime de vous-même, et, loin de vous nuire, la franchise rendra votre affabilité plus aimable. Pour assombrir la vie, il suffirait de trop arrêter ses regards sur les vices et les travers des hommes. La vertu que je préconise porte avec elle sa récompense, en nous faisant voir nos semblables tels à peu près qu'ils devraient être.
De prétendus moralistes se plaisent à blâmer l'indulgence ; si nous voulons les croire, elle encourage les vices, flatte les passions, enhardit leurs désordres. N'adoptons point ces tristes idées : que notre indulgence courageuse s'étende même aux infortunés victimes de graves erreurs. Assez d'autres prendront le soin de les accuser ; prenons pour nous celui de leur tendre une main bienveillante. Pour ramener les esprits égarés, croyons au repentir, et portons l'espérance dans le coeur du coupable ! Nés au milieu des discordes civiles, loin d'agir ainsi, nous ne savons pas même tolérer les simples opinions qui s'éloignent des nôtres. Eh ! considérons la faiblesse, l'inanité de nos jugements. Vous dites : Cet homme pense bien ; qu'on traduise ces mots, ils signifient : Cet homme pense comme moi. Que d'opinions imposées à la faiblesse par le hasard ! N... sert avec activité un des partis qui nous divisent : jamais il n'a fait le plus léger examen des opinions entre lesquelles nous devons choisir ; il est incapable de se conduire lui-même, il ne peut que suivre fidèlement une impulsion donnée, et son tuteur a disposé de lui. S'il fût né dans telle maison, voisine de la sienne, son activité servirait aujourd'hui les idées opposées à ce qu'il appelle ses principes, qui lui sont si chers et dont il est si fier. [...]
Telle idée qui d'abord nous a paru vraie, nous semble aujourd'hui fausse ; et peut-être reviendrons-nous à notre premier jugement : accordons à nos adversaires le droit de se tromper, dont nous usons fréquemment pour nous-mêmes. Allons plus loin ; aimons à publier ce que nous savons être honorable dans la conduite des hommes dont nous ne partageons pas les opinions ; c'est un moyen de rapprocher les esprits, de répandre des idées de justice et des sentiments de modération. Au milieu des guerres intestines, rappelons souvent que des erreurs en politique, en religion, peuvent laisser subsister de grandes qualités du coeur.
Joseph Droz, Essai sur l'art d'être heureux, Chap. X
Oui Reggiani, un homme d'une grande sensibilité.. Moi aussi, j'aime beaucoup cette chanson, ces paroles.. Merci pestoune.. C'était un poète aussi! Encore un écorché vif..
Je suis allé au marché aux oiseaux Et j'ai acheté des oiseaux Pour toi mon amour Je suis allé au marché aux fleurs Et j'ai acheté des fleurs Pour toi mon amour Je suis allé au marché à la ferraille Et j'ai acheté des chaînes De lourdes chaînes Pour toi mon amour Et puis je suis allé au marché aux esclaves Et je t'ai cherchée Mais je ne t'ai pas trouvée mon amour
Tout simple, tout doux ce poème de Prévert. Un poète que j'aime énormément. Un des seuls dont j'ai pu lire les textes pendant longtemps.
L'indulgence. Oui il en faut de l'indulgence. Envers les autres mais aussi envers soi. On n'est jamais assez indulgent avec soi. On se malmène, on se sacrifie, on culpabilise, on se force et on s'en veut. La vie nous serait plus douce si on savait être indulgent.
Quant aux autres, n'oublions jamais que nous ne sommes pas parfaits, loin de là alors soyons indulgent et ne demandons pas plus à nos amis que ce que nous ferions nous-même
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Paroles de la chanson Il est libre Max par Hervé Christiani
Il met de la magie, mine de rien ,dans tout ce qu'il fait Il a le sourire facile, même pour les imbéciles Il s'amuse bien, il n'tombe jamais dans les pièges Il n'se laisse pas étourdir par les néons des manèges Il vit sa vie sans s'occuper des grimaces Que font autour de lui les poissons dans la nasse
Il est libre Max ! Il est libre Max ! Y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
Il travaille un p'tit peu quand son corps est d'accord Pour lui faut pas s'en faire, il sait doser son effort Dans l'panier de crabes, il n'joue pas les homards Il n'cherche pas à tout prix à faire des bulles dans la mare
Il est libre Max ! Il est libre Max ! Y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
Il r'garde autour de lui avec les yeux de l'amour Avant qu't'aies rien pu dire, il t'aime déjà au dépar Il n'fait pas de bruit, il n'joue pas du tambour Mais la statue de marbre lui sourit dans la cour
Il est libre Max ! Il est libre Max ! Y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
Et bien sûr toutes les filles lui font les yeux de velours Lui, pour leur faire plaisir, il leur raconte des histoires Il les emmène par-delà les labours Chevaucher des licornes à la tombée du soir
Il est libre Max ! Il est libre Max ! Y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
Comme il n'a pas d'argent pour faire le grand voyageur Il va parler souvent aux habitant de son coeur Qu'est-ce qu'ils s'racontent, c'est ça qu'il faudrait savoir Pour avoir comme lui autant d'amour dans le regard
Il est libre Max ! Il est libre Max ! Y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
n'oublions jamais que nous ne sommes pas parfaits, loin de là alors soyons indulgent et ne demandons pas plus à nos amis que ce que nous ferions nous-même
Pestoune est une sage et une Sainte!! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
n'oublions jamais que nous ne sommes pas parfaits, loin de là alors soyons indulgent et ne demandons pas plus à nos amis que ce que nous ferions nous-même
Pestoune est une sage et une Sainte!! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
je suis loin de l'être...
Moi je fais de mon mieux Camélia, mais je ne le suis pas bravo Pestoune
Je t’aime pour toutes les femmes que je n’ai pas connues Je t’aime pour tous les temps où je n’ai pas vécu Pour l’odeur du grand large et l’odeur du pain chaud Pour la neige qui fond pour les premières fleurs Pour les animaux purs que l’homme n’effraie pas Je t’aime pour aimer Je t’aime pour toutes les femmes que je n’aime pas
Qui me reflète sinon toi-même je me vois si peu Sans toi je ne vois rien qu’une étendue déserte Entre autrefois et aujourd’hui Il y a eu toutes ces morts que j’ai franchies sur de la paille Je n’ai pas pu percer le mur de mon miroir Il m’a fallu apprendre mot par mot la vie Comme on oublie
Je t’aime pour ta sagesse qui n’est pas la mienne Pour la santé Je t’aime contre tout ce qui n’est qu’illusion Pour ce cœur immortel que je ne détiens pas Tu crois être le doute et tu n’es que raison Tu es le grand soleil qui me monte à la tête Quand je suis sûr de moi.
Une sainte Nitouche oui Ah si tu savais toutes les sonneries que j'ai faite et que je fais encore, tu m'affublerais de ça [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Magnifique ce poème d'Eluard, Bella.
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camélia
11 ans de Petite Feuille ♥
Merci de votre amitié
Félicitation pour ton grade "Premium"
Un grand merci pour ta fidélité et pour ta gentillesse
Félicitation pour ton grade "V.I.P.+"
J'ai la joie de vous annoncer que votre assiduité a été récompensée
Qui est Qui ? Félicitation pour ton jeu !
Une belle trouvaille ton jeu "Qui est Qui ?" Merci de l'animer....
Les Meilleurs anim'joueurs
Un Grand merci d'animer la section jeux
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Merci pour vos talentueux textes !
Félicitation ! une histoire originale, tendresse, humour, coquine… Bravo !
Vous êtes vraiment les meilleurs !
Une récompense bien méritée pour nos posteurs les plus actifs!
Vous êtes vraiment les meilleurs !
Une récompense bien méritée pour nos posteurs "Mordu d'actualité" !
"Y'love Music 2023
Hit Parade de la Fête de la Musique
La rentrée au travail : le jeu des défis
Merci d'avoir illuminé notre jeu de la rentrée avec ta présence joyeuse et ton humour pétillant
Club des Sensibilités Différentes
Bienvenue dans le Club des Sensibilités Différentes
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Mérci Bella pour ton poeme et ta chanson... Complètement en accord avec toi....et en plus je ris....parce que j'apprends que Pestoune est une sainte Nitouche..et que Camélia n'est ni sage ...ni sainte....ça je l'aurai deviné sans qu'elle le dise....MDR... Ah y'en a des écrits inutiles ....apres de si beaux poemes... Ceci dit ...ne changez rien Camelia et Pestoune....vous êtes bien plus drôles comme ça...